Aria Persei

Filtre ❣ Sur le chemin du Souvenir
 

La tromperie et la corruption derrière la scène politique et l’importance de retirer son consentement politique et énergétique

C’est une illusion de penser que nous vivons dans des sociétés libres. La plupart du temps, on nous donne simplement l’illusion de pouvoir choisir, par le vote, le choix entre différentes équipes derrière lesquelles courir. Pourtant, ces deux faces de la médaille font partie de la même prison. Il n’y a qu’un seul lit – et ce n’est même pas seulement un lit humain. Le vote est une ruse pour recueillir le consentement des masses. L’implication de cette simple action va bien plus loin qu’on ne le pense généralement. S’accrocher à un drapeau national est un pur attachement identificatif égotique. Le nationalisme, comme tout -isme, est destiné à diviser l’esprit interne, le maintenir à l’écart de son état uni et entier. C’est un outil de division. Pour comprendre la politique, il faut être capable de percevoir au-delà du voile, au-delà du spectacle de marionnettes où les ficelles sont tirées par des factions hostiles invisibles qui travaillent derrière les rideaux, se nourrissant des états de basse fréquence émis. Politique veut dire programmation. Il est important de retirer le crédit que nous accordons à tout agenda politique.

Les gouvernements ne sont pas là pour défendre les intérêts des humains, ils sont là pour gouverner les esprits. Ils ne sont pas intéressés par le son de leurs voix, leurs opinions ou leurs besoins. Les gouvernements consacrent leur temps et leur énergie à nous maintenir sans voix et réduits au silence tout en ayant l’illusion que nous avons notre mot à dire. Voter ne donne à personne la possibilité de s’exprimer. Sous la surface, il existe des factions mondiales interdimensionnelles cachées qui se consacrent à faire adopter des programmes hostiles à la race humaine. L’illusion de gouvernements séparés est une diversion et une mise en scène. La politique est une mascarade basée sur les apparences, la séduction et la tromperie.

Des forces cachées se nourrissent de nos sentiments d’insignifiance, de petitesse et d’impuissance. Partout dans le monde, des masses de gens projettent leurs traumatismes non guéris ou leurs talents non reconnus sur des personnalités publiques, y compris les politiciens. On a souvent l’impression que le public agit comme s’il faisait le blâme ou l’éloge d’un parent. La plupart du temps, nous n’avons pas rencontré ces candidats personnellement. Nous nous fions à ce qui apparaît sur un écran et à l’image qu’ils veulent bien donner d’eux-mêmes (ou que l’on veut donner d’eux) alors que nous n’avons absolument aucune idée de qui ils sont vraiment. Nos opinions sont principalement basées sur des projections positives ou négatives. Ces deux réactions polarisées font partie de la fréquence qui nous maintient piégés. Les émotions non intégrées sont utilisées contre la race humaine pour jouer sur ses sentiments en utilisant des mots et des concepts tels que l’espoir, l’avenir des enfants, l’amour de la planète ou un appel à une justice sournoise naissant d’une blessure non résolue. Il n’y a pas de pensée critique dans l’action, seulement des comportements réactifs et prévisibles. Pour comprendre la politique, il faut étudier la nature du mal (la ponérologie) et voir au-delà du voile.

La psychopathie du monde

Une chose qu’il faut garder à l’esprit est qu’une majorité de psychopathes se trouvent dans des positions de pouvoir. Beaucoup d’entre eux sont devenus des individus vils, certains l’ont toujours été. Ils ne vivent que par le mensonge, la prétention et l’apparence. Nous sommes trompés par les mots alors que nous oublions de regarder les actions. La plupart des drames de la politique sont conçus comme une distraction et sont une façade pour ce qui progresse en dessous, qui passe inaperçu grâce au cirque volatile et éphémère qui tient tout le monde occupé. De nombreux hommes politiques entrent en fonction à la suite des catastrophes de ceux qui les ont précédés: combien sont élus en réaction aux élections précédentes ? La plupart des dirigeants mondiaux sont des marionnettes facilement manipulées par le chantage par ceux qui sont réellement aux commandes au niveau 3D, eux-mêmes étant des vecteurs et laissant leurs corps comme véhicules disponibles pour que d’autres forces puissent leur dicter leur conduite. Différentes factions de vieilles lignées pourraient bien se battre entre elles pour le pouvoir. Toutes sont compromises, rongées par une faim vorace.

La plupart du temps, les politiciens sont des menteurs habiles qui ne peuvent exprimer qu’une gamme très limitée d’émotions. Ce sont surtout de bons acteurs (faites une recherche sur Google des larmes de crocodile d’Obama lors de différents discours et regardez au-delà du masque, regardez le vide et sachez observer le menteur pathologique qui se cache derrière ses aptitudes d’acteurs). La plupart des politiciens disent une chose et en font une autre. Les psychopathes ont appris à jouer le jeu de la vie, aiguisant leurs talents de trompeurs tout en observant les réactions humaines. Incapables de ressentir les mêmes choses, câblés différemment, ils ont appris à faire semblant, à mimer et à imiter un large éventail d’émotions et de sentiments. Certains d’entre eux ne sont même pas conscients qu’ils font semblant. Et pendant qu’ils ne font que prétendent, ils se nourrissent des émotions humaines, fascinés par ce que certains d’enre nous ressentent si profondément. Le simulacre peut certainement être repéré par un œil entraîné qui observe systématiquement avec un esprit critique, une attention constante et une réponse émotionnelle distanciée.

Les psychopathes au pouvoir, labyrinthe et consentement

Il n’y a pas de véritable démocratie. Ils veulent nous faire croire que nous avons le pouvoir par le vote. Mais le vote ne fait que donner au système un cachet d’approbation. Ce n’est pas une démocratie qui gouverne, c’est un groupe caché de personnes qui se croient dans leur bon droit. Parmi eux, l’arrogance est l’une des caractéristiques les plus répandues. Interrogeons-nous sur ceux qui dirigent politiquement nos pays et sur les jeux de pouvoir et d’ego macabres qui se cachent derrière le luxe de leurs châteaux et de leurs fêtes secrètes. Ouvrons les yeux sur le vrai visage qui se cache derrière les faux sourires, les faux-semblants, les tromperies et les manipulations. Quiconque a fait l’expérience de la manipulation sournoise de profils psychopathes et narcissiques peut comprendre la gamme complexe de processus psychologiques en action : projection de traumatismes d’enfance, traumatismes non résolus et dissociation profonde qui habitent les bourreaux et qui fracturent les victimes qui deviennent ensuite elles aussi des bourreaux. C’est une danse macabre.

Pas étonnant que le monde devienne fou avec, au premier plan, des psychopathes d’une grande intelligence et dont l’addiction et la dépendance au pouvoir fait peur à voir. En élisant ces abuseurs, nous consentons à être abusés en tant que race. Ces prétendus dirigeants sont émotionnellement immatures, mais ils sont très intelligents. Si chaque personne revendique sa souveraineté de l’intérieur, il n’y aurait pas besoin d’une autorité extérieure pour fixer les règles et abuser de son pouvoir. Au moment où ils arrivent au pouvoir, au moment où ils arrivent à un endroit où ils pourraient faire une différence, tous les politiciens sont complètement corrompus. S’ils ne le sont pas, ils ont été évincés, éliminés du tableau. Il n’y a aucune chance qu’ils finissent au sommet avec un cœur intact. Plus vous montez, plus vous devez renoncer à votre intégrité ; telles sont les règles. Plus vous allez haut, plus vous êtes compromis. Aujourd’hui, la maltraitance des enfants est de plus en plus normalisée. Il faut être prudent lorsque l’on assiste à la diffusion d’idées et de concepts tordus autour de la sexualité des enfants. Au cours des dix dernières années, j’ai été témoin d’une augmentation de la virulence des discours adressés aux plus jeunes alors que la programmation mentale subliminale est devenue de plus en plus agressive. Aujourd’hui, les pédophiles sont de plus en plus protégés par la loi : ils reçoivent rarement de lourdes peines pour leurs crimes. Il est naïf de penser que les personnes au pouvoir peuvent réellement apporter le changement que beaucoup espèrent.

Ce changement doit venir de l’intérieur. La voie à suivre pour un changement de paradigme est que ce dernier ne viendra pas de décisions politiques, mais du travail interne et collectif de démantèlement de tous les mensonges. Aujourd’hui, il est plus que nécessaire d’observer la dynamique du pouvoir en nous, notre propre structure interne, de sorte que la structure externe (et le contrôle mental) ait de moins en moins de contrôle sur nous. Beaucoup de gens ne peuvent pas comprendre comment de telles atrocités peuvent se produire. Face à la cruauté que d’autres humains ont dû affronter, les gens réagissent en fonction de la position dans laquelle ils se trouvent. Le travail interne consiste à observer les éléments qui déclenchent une réaction en nous-mêmes et à les intégrer par le biais du travail personnel, de l’observation et de la maîtrise des émotions. Au fur et à mesure que notre conscience s’élargit, le monde change à travers nous.

Une réponse de la matrice

En Belgique, nombreux sont ceux qui votent par crainte d’être condamnés à une amende d’un montant plutôt conséquent. Il y a quelques années, lorsque j’ai décidé d’arrêter de voter, le système s’est rendu compte que je n’étais plus dans le rang et a essayé de me réintégrer directement en me convoquant pour être secrétaire lors des prochaines élections et compter les bulletins. Le retrait de mon consentement s’est accompagné d’une réponse directe et rapide du système de contrôle matriciel, car il s’agissait d’un pas de plus pour dire non aux concepts de séparation, d’autorité extérieure et d’identification nationale. Il va sans dire que j’ai gardé les pieds sur terre et que j’ai maintenu ma décision tout en me protégeant légalement pour pouvoir rester en phase avec mon intégrité. Ce n’était rien d’autre qu’un test basé sur la peur.

Étais-je sûr de vouloir prendre cette route ? Il n’y avait pas de retour en arrière, il était hors de question de voter, qui plus est de voter par peur des répercussions financières que cela pourrait avoir. C’était un pas de plus pour affirmer mes convictions dans l’éther. J’étais trop consciente du degré de corruption et de compromission des gouvernements. La répulsion était viscérale à l’idée de mettre le nom de l’un de ces individus sur papier et de donner mon accord pour qu’une partie de ma vie soit gouvernée par eux. Je n’ai jamais cru à la politique, elle ne m’a jamais intéressée. Ce que j’avais appris ne pouvait être désappris. Ce qui avait été vu et ressenti ne pouvait pas être défait. C’était une compréhension intérieure claire. Il a fallu quelques mois pour me déprogrammer complètement de la honte et culpabilité ancrées autour du vote et du “devoir de citoyen” (une bêtise de programmation). Je ne donne pas mon consentement pour qu’on me dirige. Mon devoir de citoyen de la Terre est d’être souverain.

Dans n’importe quel domaine, pour avoir un impact positif sur l’avenir de la race humaine, les mesures devront aller au-delà du niveau 3D, avec une compréhension plus large de la réalité et un alignement à des principes supérieurs énergétiques, au-delà de la programmation communément admise (y compris celle du sauveur/victime et le désir de trouver une solution en dehors de soi-même).

Nous seuls pouvons être la solution. Cela implique que nous disions non. Non à la domination. La capacité de dire non s’accompagne de la capacité de pouvoir collectivement quitter l’état de déni, de dissonance cognitive et de s’accrocher à notre attachement aux bourreaux. Cet attachement toxique est connu sous le nom de syndrome de Stockholm. Le retrait du consentement est l’une des choses les plus puissantes qu’un être humain puisse faire. La réaction est immédiate: la décision peut être mise à l’épreuve et testée dans sa solidité. Elle s’accompagne également de résultats qui dépassent l’imagination, d’un nouvel espace intérieur où l’on peut faire l’expérience d’étendues nouvelles de liberté, d’un paysage intérieur plus souverain. Nous sommes les solutions, nos décisions à chaque seconde de donner ou de retirer notre consentement sont les réponses que nous attendions.